Par l’une de ces belles journées Que le vent de l’automne balaye, La
nature découvre dans la prospérité Le fruit d’une passion qui s’élève.
Cette fleur que la rosée nourrit, En larmes et que le soleil
sèche, Croît jours après jours, nuits après nuits Et devient, du bouton,
rose fraîche.
Fleuriste, j’ai connu des bouquets, Mais aucune rose n’était comme toi
: Unique, belle, pleines de qualités,
Et j’en profité pour, ce jour-là, Te souhaiter de ma plume salutaire Un
joyeux seixième anniversaire. |
Commentaires
kikou, je viens te souhaiter un bon après midi. bisous.